Apprendre à travailler

Interpeler les parents pour leurs enfants, les adolescents et les étudiants… chacun est concerné : la plupart du temps, on a d’abord plaisir à travailler, mais l’élan s’essouffle quand on ne réussit pas.

Au constat de l’échec, constat personnel ou déconvenue au moins aussi grande, remarque, sentence venant d’autrui.

C’est un verdict, un constat de condamnation : “j’ai mis dans ce travail tout mon espoir de réussir, mais j’ai échoué. Donc je ne suis pas fait pour ça”.
Conclusion lapidaire mais surtout plus lourd de conséquence, conclusion qui condamne un élan vers un futur enthousiasmant aux yeux de son auteur, lequel estime alors son souhait trop ambitieux pour ses compétences.

Il va, bien trop souvent, aller d’échec en pseudo motivation superficielle, autant pour soi que pour autrui. Il optera à son initiative ou conseiller, il optera pour une voie moins ambitieuse.

Meutri, estime de soi en berne, chacun dans cette situation va se résigner : quelle que soit la durée de cette résignation, reposant sur une interprétation erronée de sa capacité à atteindre ses buts, même réduits à peau de chagin.

Compromis a minima… trop souvent pour le reste de ses jours.

Dans ce type caractéristique de cas de figure, il convient de consulter un spécialiste qui pourra aider le sujet.

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